page0161

page0161



159

len Israelites, enfendant ce Philisfin parler de la sorte, eiaienl frappes <l’e(ounement et tremblaient de penr. Or David, a eause de $a jeunesse, n’avait pas snivi Saiil et s’en etait refourne a Bethlebent pour mener paitre les troupeaus de son pere. Ges trois plus grands de ses freres »vaient suivi Sauł a 1’armee. Un jour, Isai' dii a David: de prendre quelques vivres pour ses freres, de courii a eux jusqu’au eamp, et de s’informer comment ils se portaient, et len quelle eompaguie ils etaient. David setant leve des la pointę du jour, s’en alla au eamp selon 1’ordre de son pere. II vint au lieu ou farmee s’etait aeancee pour livrer bataille, et fon entendait deja les cris pour le signal du eombat. David eoidia les vivres a un liomme du bagage, et eourut au lieu du eombat frouver ses freres ,.'■|)Oitr s'inforiner de leur etat. Pendant qu’il leur parlait, lePbdistinappeleGoliatb.sortit du eamp des Pliihstins et renera sou dęli. Et tous les Isra-elites, ayantyu Goliatb, fuirent devant liii, treinblant de peur et deifroi. David indigue des blasphemes deccPlii-listm, deinanda a ceux qui eiaientpresde lin: „Qui est cet idolatre de Pbilistin qui ose ainsi insulter a 1’armee du Dieu vivant? Et quelle recompeuse donnera-t-on a celni qui, en le tuant, ótera fopprobre dTsrael?” On hu repondit; que ce gćant etait forgueil des Pbilistms, qu’ils mettaient en luj tonte leur confiance, et qu« le roi ayaitpromis de domier sa lilie Merobnyets de grands pre-sents et priyileges a eelui qui 1’aurait vaincu. Mais Eliab frere aine de David, jaloux du zcde sacre de son frere, se mit encolere contrę łui, et Im dit: ,,Pour-quoi as-tu abandonne dans le desert le peu de brebis que nous avons'? Je connais ton orgueil et la rnalignire de ton coeur, et je sais que e’est par pure curiosite que


Wyszukiwarka

Podobne podstrony:
35 ce qui dififere de la conception officielle de Bertrand qui optait toujours pour une colonie de p
3 MOTS D-ORIGINE ROUMAINE EN TURC 225 tent des mots d’emprunt d’origine rścente dans les parler
155 Pour ce qui est de la contribution relative de la masse des tissus k la variation du BMR et du M
78 masques par des alluvions plus recentes dont Pepaisseur ne depasse pas 10 a 12 metres. Sont-ce le
La structure de ce memoire debute par la prćsentation de la problematiąue, qui definit les enjeux so
- 228 -Arcnives dioceśamesde blement galbće, que ce cloitre datait de la belle ćpoque du xiii* siaci
page0073 71 Dieu fit seryir Pharaon lui-mSme a preparer un veu-geur aux Israelites que ce prince opp
page0105 103 seryer tons ses commandements, sous peine d’etre elias-se de la terre promise, et acc
page0159 — 159 — Należy nam jeszcze załatwić się z pytaniem, czy człowiek dążący do zdobycia dużego
page0160 - 159 jak śmierć; chuda, wysoka, i ze złośliwem spójrze-niem. Okropny był dla dzieci widok,
page0162 159 to, żeby górnicy tak włosi, jeszcze przez Tylickiego sprowadzeni do kopania w okolicy m
page0163 159 stanu, czynność jej jakakolwiek może trwać dłużej lub krócej, czyli mierzyć się daje. P
page0163 159 rozpadlinach, a nadto zamienia w parę wodę nasiąkającą, a ta przez swą prężność wyrzuca
page0173 159 — są wychowankowie i im lepszy robią użytek z udzielonej wolności. SJ Nadużycie udzielo
israel (4) 6 Cult-sitfe O Philisftine city a Mountain DA N ASHER £ ^ *    ii
parler de.: Lc, Lin^s. ce : se lui. II . : giqi    Tc 2 v t . *secu- ... T ques
En presence de tels cas, serait-ce trop de parler de 1’influence de la langue liturgiąue? Chez Anton

więcej podobnych podstron