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elles manąuent dans la viande, le sucre, la graisse, etc. Elles sont dćtruites au-dessus ae 160°. Leur prćsence est nćcessaire pour l’hćmatogen6se (globules blancs et rouges).

Action des ingestions continues de levure sur la tendance des clieveux a grisonner; Lanczos A. (Arch. exp. Paih. Pharm., 1941, 197. 662-665). — L’auteur, k la suitę d’absorption continue pendant 2 ans dc grandes quantitćs de yitamine B sous formę d'extrait concentrć de levure, a pu cmpćcher le grisonnement des cheveux.

Problćmes relatifs k 1’ćtude des vita-mines; von Euler H. {Chem. Zlg., 1943, 67, 70-71). — Le modę d'action des antivita-mines comporte-t-il, outre une substitution & la yitamine dans les enzymes compleoces (halo-enzymes), une action inhibitricc sur la transformation de la vltamine en coenzyme? On s’efforce de synthćtiser des antivitamine9 aptes 5 traverser la membranę extćrieurc des bacilles tuberculeux et d’extraire de Cham-pignons mycćlicns ccrtaines antivitamines bactćricides. La prćsence dans les rations alimentaires d’une ąuantitó suflisantc de matićres grasses semble une condition de 1’efRcacitć de certaines vitamines.

Sur l’oxydation de la vitamine A;

Chevalier A., Matheron R. et Roux H. {Buli. Soc. Chim. biol. [Trau.], 1941, 23, 1001). — Les produits dc destruction de la yitamine A diffćrent selon qu’ils sont obte-nus par voie photochimique ou par 1’action de l’oxyg£ne, & 1’abri de la lumićre. D’autre part, la destruction de la. vitamine A par oxydation diffćre selon que la vitamine A est sous formę librę (alcool), ou sous formę ester.

Vitamine A et thrombocytes; Catel W. {Klin. Woch., 1943, 22, 573-574). — La yitamine A ne manifeste aucune action directe spćcifique sur les thrombocytes ou sur le lleu de formation de ceux-ci chez 1’Homme cn 6quilibre vitaminique A. L’ac-tion thrombocytique de plusieurs prćpara-tions de yitamine A est due k 1’huife de Sćsame utilisće comme solyant de la yitamine.

Modifications histologiques chez les Rats femelles impuheres, soumis k un rćgime privć de yitamine A et du com-plexe yitaminięrue B,; Kuncz D. {Klin. Woch., 1943, 22, 672-673). — Chez les animaux privćs des deux yitamines A et B„ 1’hypertrophie utórino et la prolifćration ćpithćliale observćes au cours ae l’avitami-nose A ne se prćsentent plus. Cette absence de l’hypertrophie peut s¹expliquer par la faible stimulation nes cellules interstitielles de rovaire. Les animaux en expćrience prćsentent en mćme temps une atrophie nćpatique accompagnće de dćgćnćrescence parenchymateuse simulant la cirrhose, de modifications histologiques dans le thymus, 1’atrophie de la cortico-surrćnale et 1’hyper-trophie de la mćdullo-surrćnale.

•    Carotóne et yitamine A dans le plasma sanguin du betail et obseryations sur 1'aptitude a se reproduire en relation avec une ingestion restreinte de carotóne; Davis E. R. et Madsen L. L. (J. Nulrit., 1941, 21, 135-146). — Mćthodes de dosage spectrophotomćtrique utilisćes pour le bćtail; elles sont satisfaisantes pour le carotóne, Insuffisantes pour la yitamine A. Effets des carences sur le vćlage.

21, 163-173). — La yitamine B, n’est pas indispensable aux Ruminants.

*    Le complexe vitaminique B et la surrćnalectomie; Clark W. G. (Endocri-nology 1941, 28, 545-554). — L’administra-tion de thiamine et de riboflavine n’exerce pas d’efTet amćliorant sur la croissance et la survie des Rats surrćnalectomisćs.. L’insuffi-sance surrćnale ne correspond pas k une avita-minosc sccondaire.

•    Mótabolisme de 1'aneurine; Westen-brink H. G. K. {Arch. nśerl. Physiol., 1943, 27, 206-223). — Etude de la teneur en aneu-rine des divers organes (humains). Une fraction seulement de 1’aneurine absorbće rśapparaft dans les urines. De la quantitć manquante, une fraction est accumulće par divers organes. Une autre fraction, considć-rable, est dćtruite par Torganisme. Dans les urines, 1’ancurine ne figurę jamais sous formę de pyrophosphate. L’organisme a une marge de tolćrance ćlevće pour le pyrophosphate d’aneurine temporaire, distinct du pp. d’a. permanent, correspondant k 1’ćtat d’ćquilibre.

*    Mćcanisme de 1’absorption intesti-nale de la thiamine; Stockholm M., Al-thauskn T. L. et Borson H. J. {Proc. Soc. exp. Biol., N. Y., 1941, 47, 387-390). — L’injection de thyroxine n’augmente pas, chez le Rat, la vitesse d’absorption intesti-nalc de la thiamine. La phosphorylation ne jouerait donc peut-etre pas de r61e important dans cette absorption, qui a probablement lieu par simple diffusion.

•    Contribution au dosage photomó-trique de l’aneurine sous formę de bleu de Prusse; Reindel F. et Habersbrun-ner H. (Vit. Horm., 1943, 4, n° 4, 306-314). — Aneurine -f- ferrieyanure de K ferro-cyanurc de K; ferrocyanure dc K-|-Cl,Fe—>-bleu de Prusse, dość au photomćtre de Pulfrich. L’erreur est de 10 0/0. La prćsence de grandes quantitć$ de sucre rśducteur fausse les rćsultats.

Action des yitamines hydrosolubles sur 1 ’inflammation sćreuse; Beiglbock W. et Bertschinger A. {Klin. Woch., 1913, 22, 249-254). — L’injection d’histamine, d’allyl-amine ou de formiate d’allyle chez 1’animal provoque la mort de ces derniere par suitę d’une permćabilitć anormale des parois capillaires et de la diminution de la quantitć du sang circulant k cause du passage de grandes ąuantitćs de protides sćriąues a tra-vers ces parois. Essayóe sur des animaux ainsi traitćs, on constate que Tamidc nico-tiniąue agit plus 6pćcialeraent sur le tlssu parenchymateux, tandis que la yitamine C

Korte son action surtout sur le tissu conjonc-f et que la lactoflavine occupe une place intermćdiaire.

La yitamine B^ł est-elle capable de faire regresser les troubles nerveux graves consćcutifs a 1’hypoglycćmie pro-longće provoquee par 1'insuline? Hć-

DO.N L. et LouBATifcRRs A. (Buli. Soc. Chim. biol. [Trau.], 1941, 23, 1052-1056). — Les auteurs admettent que 1‘aneurine intervient pour restaurer l’altćration fonctionnelle pro-duite par Thypoglycćmie insuliniąue pro-longće.

Teneur en riboflavine de quelques fruits pris comme types; Lanfop.d C. S., Finkelstkin B. et Sherman H. C. (J. Nulrit., 1941, 21, 175-177). — Ce sont les Pommes, Poires, Oranges, Pamplemousses, Tomates, Bananes; mćthodo de dosage biologiąue.

•    Ćtudo sur la riboflavine et la mine prćsentes dans le contenu de la panse du bćtail; Hunt C. H., Hick C. H.,

Burrough E. W., Bethke R. M., Schalk A. F. et Gerlaugh P. {J. Nulrit1941, 21, 85-92). — La synthćse de la ribofiavine et de la thiamine est rśalisće dans la panse de la Vache lorsque celle-ci reęoit un rćgime alimentaire composć dc Mals, dc Foin et enrichi en protćines.

*    Traitement des symptómes de la maladie du blanc d'ceuf par des acides gras de grednes olóagmeuses et par la yitamine B,; Mac Kay E. M. et Barnes R. H. {Proc. Soc. exp. Biol., N. Y., 1941, 46, 353-357). — Les troubles provoqufc chez le Rat albinos par 1’ingestion de blancs d’oeufs dessćchćs se dćveloppent plus len-tement si 10 0/0 des graisses de la ration sont formćs de graines olćagineuses; les symptómes disparaissent complćtement si la yitamine B, est ajoutee aux graines.

Sur la yitamine C dans 1’estomac, 1'intestin, le foie et le pancrćaB do 1’Homme adulte; Wallraff J. {Klin. Woch., 1943, 22, 591-592). -— L’auteur ćtudie par la mćthode histochimique la rćpartition de 1’acide ascorbique dans les diffórentes parties de 1’estomac (ćpithćlium,

flandes, pylore, cardia), de 1’intestin (ćpi-hćlium des villositćs, duodćnum, ilśon), du foie et du pancrśas.

* De la prćsence de certaines subs-tances protectrices de la yitamine C dans le jus d’Orange; Vitte-Coustou {Buli. Trau. Soc. Pharm. Bordcaux, 1942,80, n° 3, 114-118). — Ces substances, qui jouent vis-i-vis de 1’acide ascorbique le róle d’an-tioxygćnes, ne seraient autres que les substances pcctiqucs.

Sur 1'adsorption de la yitamine C;

Kuhn A. et Gerhard {Kolloid Z., 1943, 103, 130-135). — Le charbon adsorbe 1’acide ascorbique en l’oxydant, et 1’adsorption ne suit pas la loi de Boedecker. Un traitement prćalable avec des rćducteurs (sulfitc ou nydrosulflte de Na) empćche l’oxydation. Sur le charbon traitć k 1 hydrosulfite, l’ad-sorption de 1’acide ascorbique et de 1’acide dćhydroascorbique suit la loi de Boedecker x = K (c-z)¹ avec K = 2,05 et n = 0,793 pour 1’aclde dćhydroascorbique, K r 2,3 et n s- 0,8 pour 1’ac’ide ascorbiąue. La floridine, la bentonite, la franconite n’adsorbent pas 1’acide ascorbique en solution mćtaphospho-rique, mais l’oxydent.

Ćtude des proprićtós antiscorbutiąues de 1’acide 2-c6to-/-gulonique; Ball E. O. [J. biol. Chem., 1940, 134, 177-180). — Les expóriences montrent que cet acide est beaucoup moins actif que l’acide ascorbique. L^ctiyitć trouvćc pourrait 5tre duo k la prćsence de traces d’acide ascorbique.

* La pharmacologie de la yitamine C;

Haas H. T. A. (Vit. u. Horm., 1942, 3, n«• 3-4, 1665-1692). — Nos connaissances actuelles concernant la pharmacologie de la yitamine C; son róle dans la fonction des glandes endocrines et sa fonction antitoxique. Trte importante bibliographie (10 pages).

* Le mótabolisme de la yitamine C. Taux dans le sang et ólimination, en relation avec la saturation de 1’orga-nisme par administr ation buccśde; Gohr ll. et Thikkotter B. (Vit. u. Horm., i942, 3, no. 3-4, 196-205).ćtude de 1’as-corb.nśmie chez des sujets normaux et ma-lades, av^ant et aprós saturation. Dćlais du retour & 1 ćtat normaL

1

   Ćtude quantitative des yitamines prćsentes dans le contenu de la panse de Moutons et de Vaches soumis k des rćgimes carencćs. III. Thiamine; Mac-Elroy L. W. et Goss H. (J. Nulrit., 1941,

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