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LES FOULES DE LOURDES

Prćs de 4 millions de pćlerins a Lourdes, en 1954

Oucl a 4lć le bilon dc Lourdes, cn cc qu‘il a <lc visihlo et de chi (Trabie, en cette Annóc Marinie ?

Le rapport du cointe de Heauchamp, prćsldent do 1'HospiLalitó de Notre-Damc de Lourdes. va nous le dlre : •

•    3 h i millions de pólcrins sonl venus fi la Grotte de loutes lei parties du monde, par les trains, les avions, les cars, les voitures parti-culi&res.

•    Quelques cxcmples : 25.000 liommes au pćlerinagc de 1'nrmće, prć-sidó par S. Em. lo Cardinal Feltin ; 3.000 avialcura et 5.000 marina au pOIcrinage International de rarmóe do l*air et do la marinę ; 60.000 pidc-rins au National, prćsidć par le cardinal-palriarcbe do Lisbonne ; davan-tagc cncore : 37 trains, 900 cara pour uno scule Journće, au pOIcrinage du Rosaire, prćsidć par S. Em. le Cardinal Liónart.

•    S. Exc. Mgr Thdas a reęu des centaines do cardinaux, d^,archevdques ot d'ćv6ques, et il a ćgalement dvangśllsó des millions do pdlorins.

•    Sur los 3.500.000 pfclerins, 600.000 ótrangers, 900 avlons ont atterri fi 1’aórodrome, amenant 25.000 passagers.

•    7.000 communions en moyenne ont ćtó distribuócs cbaque jour ii la Grotto, sana compler les innombrables communions des sanctuaires. chapelles, ćglises paroissialcs dc la ville.

•    2.000 hospitalicra, 10.000 brancardicrs, 295 Scouts ont servl 03.000 malades.

•    662 trains ont amenć 33.780 malades, dont 17.200 pour la France, 3.088 pour la Bclgique, 7.614 pour 1'Italie, 1.168 pour 1’Angleterre, 230 pour 1'Irlando, 665 pour l^JAllemagne, 572 pour la Sarre, 300 pour 1’Espagnc, etc...

•    18.600 cnfants oni ćtd consacrćs fi Nolrc-Dame, fi la Grolle.

•    Aux plsclnes, on a comptó 219.238 bains pour los dames et 81.200 pour les hommes.

Voll&, sans parler de 1‘aclion invisible de la grftce, los róalitćs du fali de Lourdes. Voil& ce qu’est venu couronncr d'inoubliahle faęon la Idgallou dc S. Em. lo Cardinal Lćger, archovfique de Monlróal.

Phalange d’Arvor

Ccrclcs d‘Etudes.

Lo 3 Ddęeir.bre 1054 cst une dale qui marqu© sans nul douto los anna-lcs du Gardo d'Elude. Ce soir-la nóus avons ou le plaisir de roccvoir ct dccouter M. 1'nhbó Trdvidic, numOnier du Chapitre, qui est venu nous parł er de « m * Calhćdrale. Nous connalssions dćjb, de rśputation, I'abb6 Tróvidic, qul, chaque ćtć, fail dćcouvrir ol ndmirer aux touristes qui visilenl nolre ćgllse, sos ricliesscs anciennos et aussi ses < acquisitions modernes > nvcc uii sens artisliquc profond ot une ćrudition allićo b une simplicite d'cxpressions. l)'autre part nous avons ou 1’occasion de liro dans le bulletln parolssial ses diiTćronls articles sur la construction des flfcehes.

Nous nous sommes apcręus nu cours de celto soirde que le confćron-oler n’ćfait pas infóriour au gnido ni b rćcrivain. Son oxposd fut un rćgal, mćme pour los molos inltiós, ct la meillcure preuve de Tintórfit porłd b son rdrit, n’est-ello pas la prdsenco, I© dimancho suivant, aprós In ineóse do 9 heures, d’un groupc sympatii ique dc jeunes Phalangistcs, dont plusieurs sont des paroisses cimronnantes, pnrcourant 1'ćgliso pour Yćriflor la descriplion du « triforium >, 8‘altardant aux vitraux et aux nulels, et essayanl dc dócouvrir les beautós cnclides dans lc Yilrnłl du Pdre Maunoir et la statuo de Saint Cbristopho ?

Nuus espćrons avoir le plaisir de rctrouver 1’abbd Tr<$vidic dans uń avenir prochain. II a promis de rovenir,nous parler do notre chftro eild, dont il connalt 1'Histoire dans les nioindres dótails.

Siimalons en terminant que nous sommes rćgulibremenl b chnque rdunion une vinglaiuc dc Phalangistes dont la plupart ont entre 17 et 20 ans. Esl-il de plus sOro garantic do In conservntion de 1‘iddal « Patro > b la P. A. ?

H. R.

Fooł-Boll.

I/enuipe fon i on. aprbs un ddbut assez dlfflcile dans le Cbampionnat dc Promotion groupc B. semble. aprbs la dixlbme journćo, avoir trouvó la cohtaion qui lui mnnquait au cours des premibres rencontres.

Ei effel, aprbs avoir trafnó pendant un cerlain moment on queuo do

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