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I

interaction. en fonction de isk.m choisi comme seuil. Chaque analyse de variance est realisee avcc des classes a edeciils variables mais dont !e (olał des effeciils dos deux classes esl toujours ćgal 5 57.

-    L'ełlel temperaturę • esl loujours si-gnilicalif car. quelle que soil l*v.m choisie. lous les salarićs sońt contenus dans les 2 classes. C esi pourquoi. 1’analysc des 2 courbes de la Cigure 2 lient comple uniquemen! des variations des valeurs de « f •, surtout dans l‘iniervalle 23*27 °C. En-ire 23 ei 27 °C. les valeurs de « F • de

-    leHeł temperaturę » sonl les plus ćlevees cl plus precisement enlre 23 ei 23,5 °C. Autrement dit. 1‘influence de Isk.m sur la baisse de la performance esl maximum pour ces vałeurs de Isk.m

L’effei - sens de passation • n'esi pas signjficaiif en dessous de 22.5 °C. Puis la courbe s’eleve brulalement entre 22,5 el 24 °C el 1'efiet devienl significatil. Au-dela. la courbe resie parallćle a l'axe des Uk.m. Ainsi. lors-que isk.m esl inferieure a 23 °C envi-rop. Tinfluence du sens de passaiion sur la performance esl faible parce que 1’effel lempćralure predomine. En rcvancho. lorsque t₈k.m esl superieure a 23 °C, «1'etfel passaiion » esl im-poriani. la rćpćtition du lesi enirainanl une amćlioralion des resullais. Auire-menl dit. te salarić beneficie alors de bonnes condilions d'apprenlissage parce que 1’infiuence de - 1'effet temperaturę » n*exisie plus. Ainsi. au-delć de 24 °C de tsk.m. la dextćritć n‘est pas modifićc par Ic Iroid

Si le seuil de t_Sk.m. en dcęa duquel la dexterile esl diminuóc, esl tixe entre 23 el 24 °C. aucune correlation ne doił alors exister entre Isk.m et la performance pour lous les . salarićs dont Uk.m est supśrieure ś ce seuil.

Ce test de corrćlation a donc etó rćalise. Cependant. du farf que le seuil ne peut ćtrc lixe avcc próctsion puis-que cost un inten/alle qui esl propose. 3 valeurs seuils ont ele cboisies. soil respectivement: 23. 23.5 et 24 °C. Le tableau III presente ces corrćiaiions; pour chaque valeur du seuil. 2 correla-tions sonl caiculees: lunę enlre les tsi^n supćrieures au seuil el la performance correspondanlc. 1'autre enlre fes Is^m infćricurcs au seuil et la performance correspondanle.

L’examen de ce tableau montre que. quel que soil te seuil. aucune correlation rVexisteentre les tsk.m supćrieures a ce seuil el la performance. En revancbe. la corrćlation entre les tsk.m infćrieures a ce seuil et la performance est signilical»ve pour les valeurs de seuil de 23.5 el 24 °C.

Ces resultats conlirment donc que le seuil peul ćlrc lixe entre 23 el 24 »C.

3. DISCUSSION

La prćscntc ćtudc vise a metlre en evidence la diminution eventuelle de la dexlćrite chez les salarićs qui tra-vailleni dans des ambiances thermi-ques froides. Elle est donc rćalisee sur le terrain sans que les condilions de travail des salarićs soient modi-fiees. Cette situalion expćrimentale particulićre influence 1'organisation de 1‘etude ainsi que le depouillement.

Chaque sałacie ćtudie subit une conlrainte lhermique t/oide qui lui est propre. En effet. la tache. le vetement. la durće d exposition et les caractćris-iiques de la conlrainte ihermique sonl propres ć chacun des salarićs ćtu-dićs. Par exemple. ceriams salarićs portem en permanence des gants. d‘autres nen porter! jamais. d'autres encore nen portent qu’episodique-menl. d'autres enfin ne portent qu*un seul gant. L‘exemple des gants illustre bien 1'nćtćrogćnćftć des contraintes thermiques subies par les salarićs. En consćquence. le relroidisscment des tissus cutanćs el sous-cutanćs du membre supericur qui represente 1’as-ireinte thermique des salarićs exposćs au Iroid (Enander el coli.. 1979; Williamson et coli.. 1984) n‘esl pas comparable dun sałacie ć 1‘autre. Or. Clark et Cohen (1950) qui utilisent le test de nouage montrent que la performance dćpend non seulemenl de la lempćrature cutanee mais aussi de la temperaturę des tissus plus profonds (muscles, nerfs. articula-lions). Ainsi. selon ces auteurs. pour une m5me lemperalure cutanćc, plus la temperaturę des tissus prolonds esl basso. plus la performance est diminuee.

Cette observalion a deux conse-quences. En premier lieu. H n'esl pas possible de proposer dans la p/e-serie elude une relalion liant la baisse de la dexterile au relroidisscment. En ettet, en raison dc 1'hetćrogćnćiić des condilions experimentales. le refroi-dissement des membres superieurs de chaque salarić esl specifique. donc diffćrent de chacun des autres saia-ries. II s'ensuit que pour deux salarićs dont le refroidissement des lissus profonds esl ditterent. la performance au froid sera diHćrente bien qu'il soil possible que leurs temperatures cuta-nćes soient identiques. En second lieu. le choix de lindicateur de refroi-dissement s‘avćre complexe Aussi. ces deux questions doivenl elles etre disculees en tenant comple des don-nees bibiiographiques.

Auparavanl. il est aussi necessaire de justilier le choix du lesi du boulon parmi les diHćrcnts lests dispombles.

Les difłerents auteurs qui ont etudić 1'influence du froid sur la dextórilć ont montró 1'imporlance que revćt le choix

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